Un coup dur pour les marcheurs! De Sébé, nous apercevons les lumières de Bamako. Nous pouvons y être en une demi journée de marche... mais le palu s'empare de Lamine au milieu de la nuit. Nous sommes contraints de parcourir les derniers kilomètres vers la capitale en taxi. Le pauvre Lamine ne peut pas apprécier le confort de la ville: il n'a pas d'appétit et se sent vidé de toute sa vitalité.